L’Hivernale 2023 5


Voici les récits de course du trail L’Hivernale qui s’est tenu le dimanche 29 Janvier 2023.

Récit de Caro

Ma première course en 2023 et mon premier 24km !

Avec Marianne et Valérie, nous décidons de nous inscrire à l’Hivernale en préparation de l’Ecotrail 30km. J’avais une grosse appréhension pour cette distance mais je me dis « si tu ne peux pas courir 24km, tu ne pourras pas courir 30km … alors fonce ».

Le jour J, Marianne et Guillaume passe me prendre, on récupère Valérie et Alexandre à Thoiry et en route pour les étangs de Hollande. Dès que je mets le nez dehors, je vois la marre devant la maison gelée et je me dis que ça va piquer grave. 

En effet, il fait -5° alors on récupère les dossards, et on part attendre dans les voitures tellement le froid est saisissant.

9h30 c’est le départ. Je décide de rester avec Marianne qui est à la fois régulière et endurante. Sophie s’étant fait larguée par Erwan (son fils de 17 ans) en moins de temps qu’il faut pour le dire, elle décide de rester avec nous. Valérie part devant avec Alexandre.

Très vite je n’ai plus froid mais il me faut bien 2 km pour récupérer mes orteils, jusque-là j’avais l’impression de courir sur des moignons.

Le parcours n’est vraiment pas facile. Le sol est complètement gelé au départ mais vite les passages et le soleil rendent certaines portions assez boueuses. Il y a tout d’un vrai trail comme on les aime : la boue donc, mais des cailloux, parfois du sable et de sacrées côtes dont certaines sont aussi difficiles en montée qu’en descente. Alors on assure le coup, on essaye de ne pas se faire mal, on marche dans les montées et on reste prudentes dans les descentes.

Après j’ai trouvé ça long …heureusement qu’on était 3, on a popoté un peu pour passer le temps. Au 21ème km Sophie nous fait un beau gadin, tout le monde commence à être fatiguée …mais elle repart comme si de rien n’était.

A l’arrivée, Guillaume nous attend pour une photo de finish … et on retrouve les garçons (Laurent, Edwin, Eric, Jean-No) qui nous ont attendues pour une petite bière (merci J) …

Finalement, ces 24km sont plutôt bien passées. L’objectif était juste de finir et de garder mes articulations intactes pour l’Ecotrail.

Récit de Guillaume

Troisième participation pour ma part. Le 12km en 2020 et le 24 en 2022 en préparation de l’Ecotrail 30km. J’avais trouvé dur le 24 l’an dernier, même si au final il ne faisait que 23,3km.

Mais après le Chocotrail, 24km également et même dénivelé, en décembre, que j’avais fait sans difficulté, cela devrait bien se passer.

L’hivernale a la réputation d’être extrêmement boueuse. Mais elle ne l’était pas lors de mes précédentes participations et avec -5° cette année, cela devrait rester assez dur.

Tout est donc favorable à ce que j’améliore mon temps de l’an dernier (2h45, allure moyenne autour de 7mn).

Mais, car il y a un mais, voire plusieurs mais…

Je viens de passer une semaine un peu malade, légère fièvre, mal à la gorge, toux, nuits difficiles, bodybatterie sur ma Garmin toute pourrie. J’ai séché les entraînements et le samedi matin (la veille) je me lève avec encore un gros mal de tête. Pourrais-je participer ? Dans ces cas je me rappelle Christine au premier marathon de Deauville qu’elle avait fait avec une angine et juste après une opération dentaire (quelle warrior).

Et puis le dimanche matin, ça va mieux, j’ai mieux dormi, pas assez mais mieux.

Nous nous rendons aux étangs de Hollande. Ça caille 🥶. Nous récupérons nos dossards, et un tour de cou/bonnet à fourrure, bienvenu.  Nous retournons au chaud dans la voiture, électrique (le bilan carbone enfin !) attacher nos dossards et attendre le départ.

On retrouve les autres sur la ligne de départ dont Edwin, mon binôme de trail, et Jean-No qui a prévu de nous suivre car peu entraîné suite à quelques semaines de grippe et compagnie. Il me demande mon objectif : finir ! Vu mon état. Enfin j’espère quand même faire mieux que l’an dernier.

C’est parti, les 5 premiers km paraissent faciles, je dis à Jean-No : « Si cela pouvait être comme ça jusqu’à la fin, mais je sais qu’au 20ème ce sera une autre histoire ».. On retrouve Edwin qui était parti légèrement plus vite.

Comme prévu, pas trop de boue. On marche dans les côtes qui sont super raides (beaucoup plus qu’au chocotrail). On essaie d’aller plus vite sur le plat, l’objectif étant une allure moyenne de 6:30 au final (ambitieux vu mon état). Je ralentis aussi dans les descentes, de peur de me tordre les chevilles. Je n’arrive pas à avoir une allure moyenne en dessous de 6:50.

Globalement, jusqu’au 16ème, ça va. Après, je vais baisser l’allure et commencer à compter les km. Edwin part devant.. 21ème km allure 8:48 (beaucoup de côtes). Je dis à Jean-No que ça va être long, très long, à cette allure. La fin est également plus boueuse.

On double Valérie L. et son chéri, elle marche, elle n’a plus de jambes. On double aussi le fils de Sophie qui est parti très vite mais n’a plus de jus et marche, il nous demande de l’accompagner, je lui dis que vue mon allure, il n’aura pas de mal à me suivre, mais il se remet à marcher, il est vraiment ko.

22ème, plus qu’un km et quelque (ben oui, 23,3km l’an dernier). Aller on pousse un peu (un tout petit peu en fait) on passe entre les deux étangs, puis virage à gauche vers l’arrivée. Tiens… on ne tourne pas tout de suite, ah enfin on tourne. Elle est bien longue cette ligne droite. Ma montre annonce le 24ème km. La vache ! Ils ont rallongé par rapport à l’an dernier ! En effet, on finit par voir l’autre chemin entre deux étangs et les quelques centaines de mètres jusqu’à l’arrivée.

Edwin est arrivé depuis 4mn (bravo Edwin !) et peut ainsi photographier notre arrivée (c’est juste pour ça que je t’ai laissé devant, j’aurai pu te rattraper les doigts dans le nez 😂).

2h58 au final. Je suis assez épuisé, la soupe chaude est bienvenue ainsi que quelques Tuc et un petit Mars (et ça repart !) puis une bière avec les ASM.

Merci encore Jean-No de m’avoir accompagné jusqu’au bout 🙏🏻

Récit de Patrice

Plus qu’un récit détaillé, je vous propose de partager quelques réflexions sur cette bien agréable matinée.

Tout d’abord c’est une course que je découvrais. J’ai énormément apprécié le parcours entièrement forestier. C’est tout de même une bien jolie forêt. C’est un parcours intéressant pour les traileurs débutants car les côtes bien qu’exigeantes ne sont pas très longues, car les difficultés sont plutôt au milieu du parcours la fin étant assez roulante, ce qui n’est pas désagréable lorsque les jambes se font lourdes. Je reviendrai donc l’année prochaine.

Pour l’organisation, je serai plus critique. Je discutais un peu derrière tout le monde quand j’ai vu des coureurs s’élancer, la foule se mettre en mouvement, sans comprendre immédiatement que le départ avait été donné. Aucun signal sonore pour annoncer le départ, c’est tout de même étonnant, une ligne de départ virtuelle que je n’ai toujours pas identifiée, c’est surprenant. Le problème c’est que j’avais identifié l’existence d’un goulet d’étranglement juste après le départ sur les vidéos que j’avais pu visionner. J’ai été contraint de faire un petit sprint au départ pour tenter d’éviter le plus possible ce petit goulet. Objectif partiellement atteint…Le second problème c’est le partage des singles avec les marcheurs. Ce sont deux sports différents, il n’est pas judicieux de les associer sur un même parcours quand les chemins sont très étroits. Je crois que les coureurs perturbent les marcheurs et inversement. Sinon, je n’ai réellement pas apprécié les derniers mètres avant l’arrivée, sur cette bande de terre très étroites pleines de racines et de marcheurs :-)) le long de la route….. MAIS ces derniers points ne sont pas l’essentiel et me font pas oublier le plus important, la beauté du parcours.

Pour le déroulement de ma course, après mon sprint de départ, j’ai conservé une bonne allure, en réalité un peu trop rapide. J’ai commencé à piocher au 10ème km. Du 10ème au 16ème, j’étais réellement dans le dur, les jambes lourdes, je n’avançais plus, tout le monde me doublait. J’étais au fond du trou, physiquement et psychologiquement. Au 16ème km, Eric me double avec un petit mot d’encouragement. J’ai eu comme un déclic. Tout de suite je me suis rappelé la séance de travail des bras qu’il avait animé l’année passée, je me suis rappelé que ce sont nos bras et non nos jambes qui nous font avancer. Je me suis concentré sur mes bras et peu à peu la machine s’est remise en marche. J’ai retrouvé un bon rythme, autour de 12km/h pour redoubler de nombreux coureurs et rattraper Eric qui gérait son allure en vue de son prochain marathon. J’ai apprécié finir avec lui les deux derniers km. Bon j’avoue, j’étais aussi un peu fier de finir avec lui…on sait tous qu’Eric c’est une machine 👾💪💪💪💪💪💪💪💪💪💪

Je faisais cette course avec mon neveu et un ami, j’étais tout de même trop content de pouvoir croiser tout le club avant le départ, même si c’était pour un bonjour rapide, j’étais un peu déçu de ne pouvoir attendre l’arrivée des autres ASM pour des raisons familiales…mais les récits (et vos photos sur notre groupe de discussion) sont aussi une façon bien agréable de partager nos courses…

Récit de Marianne

 Je me suis inscrite à ce trail de 24km car j’avais aimé le 12km l’an dernier et en 2018 et que ça permettait de préparer l’Ecotrail 30km.

 Je ne sais pas ce qui s’est passé, je cogite toujours… Je n’ai jamais subi une course à ce point. Dans une course, il y a toujours un moment où tu prends du plaisir, parce que tu te dépasses, parce que le paysage est beau ou pour plein d’autres raisons. Mais la rien, j’ai eu les jambes lourdes du début à la fin, je ne voyais pas les cailloux sous les feuilles et c’était pas top pour les chevilles, j’ai mis plus de 10km pour avaler une pâte de fruits. La fin était très boueuse, quand tu as 21km dans les pattes, ça ne t’amuse plus du tout comme il y a 5 ans sur le 12km.

Le départ de cette course est aussi étrange qu’à Cernay, pas de ligne, pas de pistolet au départ…après quelques minutes, nous avons le droit au fameux goulet d’étranglement puis ça grimpe. Sophie, Caroline et moi courons ensemble.

Vers le 4ème ou le 5ème km, je me retourne et  j’ai l’impression qu’il n’y a plus personne derrière. J’ai couru presque 19 km en me disant que j’étais la dernière du 24km  et c’est pas bon pour le moral. Nous marchons dans les cotes mais j’ai du mal à repartir quand le terrain se fait plus plat.

Je regarde souvent ma montre, le cardio ça va mais il reste beaucoup de km.

Je m’accroche à Caroline et Sophie comme si une corde nous reliait. La fin du tracé a changée, ça me perturbe. Caroline s’arrête pour m’attendre (merci, merci) Et  grosse déception à l’arrivée, presque personne pour nous encourager, merci Guillaume d’avoir attendu quelques minutes et d’avoir pris des photos.

Pourquoi ai-je subi cette course ? J’ai plusieurs débuts de réponse :

 – Depuis que je fais de la marche nordique, je ne fais plus de grosses sorties, ça joue sûrement

 – Je n’ai pas regardé le parcours, ce n’est pas le 12km x 2. J’ai surement sous-estimé la difficulté de ce trail

 – Côté équipements : pour les pieds, c’était nickel : chaussures de  trail et chaussettes étanches Verjari pour le reste, je suis septique le maillot manches longues pas assez élastique n’arrêtait pas de remonter, j’ai ajouté une polaire sans manche au dernier moment car il faisait -5°C mais elle était peut-être de trop.

Finalement je n’étais pas dernière, il y avait encore 10 personnes derrière moi.

Je reviendrai sur l’hivernale mais plutôt sur le 12km

Marianne

Récit de Laurent L

L’hivernale, c’est toujours un challenge annuel en soi, c’est soit très froid, soit très boueux, cette année ce sera très froid, -6° en sortant de chez moi, bon ca commence bien. Eric me chope très très tôt (attention tu te « masséise »😂 ) avec Jean-no et Edwin, je suis super content de retrouver Jean-No que j’avais pas vu dans des baskets depuis 2 mois au moins. Il fallait arriver tôt pour trouver de la place pas loin de la zone de départ, tu m’étonnes Eric !!! Il y a à peine 4 bagnoles sur le parking à l’heure où on arrive, et surement des voitures d’organisateur 😒 : « euh nous on est la pour courir, pas pour faire la soupe !!! ». Côté positif à cette arrivée si tôt, les couleurs du levé de soleil sont magnifiques!

Les étangs avec plaques de glace et le sable dur comme du béton je connaissais pas, voilà ça c’est fait !!!

Surprise cette année, on nous propose un super tour de cou, de très bonne qualité, ca change des maillots, c’est une bonne idée. Après avoir glander 30 mn dans la voiture, on retrouve nos amis ASM.

Moi perso, je vise 2h10 – 2h12, mon dernier meilleur chrono est 2h21. Je finis ma prépa marathon de Séville, j’ai donc besoin de me mettre en confiance. Sauf que sur l’hivernale, pour faire un chrono, y a pas de secret, en plus d’être en pleine forme, il faut partir avec le wagon de tête pour éviter les 2 goulets d’étranglement de début de course, si je ne démarre pas vite, je tombe dans ce piège et vais prendre facile 3mn dans la vue à attendre de pouvoir passer le goulet, doubler et rattraper mon « retard ».

Donc on se place pour le départ, enfin ce qui aurait du être le départ, la c’est hyper brouillon, y pas de ligne à proprement parler (juste 2 drapeaux de départ), et plein de coureurs devant nous qui aurait du passer derrière, cacophonie totale, on discute et soudain on se rend compte que c’est parti !!! tous les blaireaux qui sont restés devant (sans écouter les annonces ) et auraient du passer derrière sont partis, pas de pistolet rien (Départ de M..) ! Donc le scénario cata pour moi se confirme, le wagon de début est parti, et donc j’attends comme un con sur le goulet… je prends mes gouttes, je me calme et voila ma course démarre vraiment.

Le terrain est assez sec, mais ca va pas durer je pense. A force de m’énerver tout seul, j’imprime une belle allure (5’00) et du coup au bout de 2km, j’aperçois une tête sans cheveux avec un maillot ASM ! C’est Eric.. chouette j’ai un lièvre au loin !

Je suis plutôt en jambe, ca déroule bien, mais bon c’est que le début. En tout cas je ne subis pas la course. La première moitié est toujours aussi « montagnes russes », idéal pour se casser les pattes, mais le parcours est toujours aussi beau et sympa ! ca alterne, montée / descentes / montées / descentes. A chaque montée je sens que je rattrape Eric et ensuite dès qu’on repasse sur le plat il me largue.. il a une de ces reprise le bougre (je le déteste !). Un peu avant la moitié je rattrape Erwann le fils de Sophie, un jeune de 17ans et demi inscrit au club de Trialthon de Poissy (futur élite), il est déjà dans le dur, c’est son premier trail sur une distance pareil… je lui propose de rester avec moi mais il est déjà très cuit! Patience, dans moins de 5 ans il nous enrhumera tous !

Je perds de vue Eric à partir du 15ième, je sais pas si il a accéléré car moi j’ai l’impression de courir à même allure ( la garmin me le confirmera). Au 18ième ca coince un peu, je baisse d’allure et passe à 5’30 – 6’00, zut je pense que pour 2h10 c’est cuit.

On arrive sur la fin, avec quelques singles sympas, mais la boue a commencé à montrer le bout de son nez, normal, y a déjà eu des centaines de coureurs qui sont passé avant (24k, 12k, Marche Nordique). Passage du pont final , il reste 200 ou 300 mètres, euh non, en fait, on a prit un autre pont plus loin, il reste donc 1 bon kilo, mais ca n’entame pas ma motivation, allez c’est le final, accélération. Je franchis la ligne en 2h15 très content, malgré la cacophonie du départ. Je retrouve Eric et Patrice qui a la grande forme en ce moment et qui claque un 2h12… Bravo !

Eric et moi avions décidé d’attendre le reste de la troupe sur la ligne… mais après 35mn on en pouvait plus, fallait qu’on aille se réchauffer dans la voiture !

Et comme le veut la tradition à l‘Hivernale, on termine la matinée autour d’une bonne bière et amuse-bouche entre ASM. Encore un bon moment de douleurs et de plaisir passé avec les potos ASM.

Prochaine étape, le marathon de Séville

Récit d’Edwin

Et de deux ! Après ma première participation en 2022 avec des bons souvenirs, je décide de refaire l’hivernale en 2023.

Ehh bien, le parcours est presque identique mais rallongé de +/- 1 km (24,4km / 443 D+ vs 23,1km)… et mon temps aussi … mais beaucoup plus que le kilomètre supplémentaire.

Nous partons en co-voiturage avec notre chauffeur du jour Eric, et Laurent L et JeanNo. Nous arrivons assez tôt, juste après l’ouverture à 08h00 pour récupérer le dossard et un joli et pratique tour de cou. Départ qu’à 09h30 et il fait froid -5°C. Même le sable est gelé ainsi qu’une partie de l’étang. Nous attendons dans la voiture, trop froid pour rester dehors. Un bon quand d’heure avant le départ, préparation et on retrouve les autres ASM.

Il y a pas mal de monde sur le départ et comme l’année dernière l’embouteillage commence dès l’entrée dans la forêt et le single qui suit.

Le parcours est sympas mais exigeant. Il y a des belles côtes en montée et aussi en descente. Le parcours de 24km est en fait deux boucles différentes de 12 km. On peut aussi faire 12km sur une des deux boucles (bleue: départ 09h15, 12km, 320mD+ ou rouge 12km: départ à 10h00 et 155mD+).

Le 24km démarre par la boucle bleue… aie déjà 320mD+ puis la boucle rouge. Le Trail est en autosuffisance, il faut donc prévoir l’eau et des barres à consommer pendant la course.

Nous courons ensemble avec Guillaume, JeanNo et on croise de temps en temps Valérie et son compagnon.

La première boucle se passe pas mal, Guillaume et JeanNo ont même accéléré, j’avais du mal à les rattraper suite à un stop pour enlever un petit caillou dans ma chaussure.

La deuxième boucle, il parait qu’il y a moins de D+ mais je n’avais pas cette impression. Guillaume avait une crève la semaine juste avant la course et la deuxième partie est plus difficile pour lui. JeanNo décide d’aller le chercher et moi, je ralentis pour qu’ils puissent me rattraper.

Mais malheureusement, il n’arrive plus à accélérer.

Je reconnais la fin du parcours avec le classique single boueux (pas trop cette année mais suffisant pour faire attention afin de ne pas glisser), puis je traverse le pont et l’arrivée sur la plage.

J’attends Guillaume et JeanNo à l’arrivé pour les prendre en photo (que quelques minutes après). Un bouillon qui nous rechauffe bien nous attend au ravito de l’arrivée.

Puis comme d’hab, pour bien marquer la fin de la course on prend un apéro ensemble et nous sommes à nouveau les derniers à partir du site 😉

Résultats :

Caroline Gillier-Paulin : 03:06:52 (24k)

Edwin Determann : 02:54:36 (24k)

Eric Lonchampt : 02:12:27 (24k)

Guillaume Griffon : 02:58:44 (24k)

Jean-Noel Mercereau : 02:58:44 (24k)

Kheloudja Bourgha-David : 01:44:00 (12k)

Laurent Leturger : 02:15:36 (24k)

Marianne Forey : 03:06:53 (24k)

Patrice Barthélémi : 02:12:28 (24k)

Sophie Mahe Esnault : 03:06:01 (24k)

Valérie Lemenceau : 03:01:24 (24k)

Diaporama:


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