Ah!!!! Voici enfin les r\u00e9cits de course du Marathon de Valence 2019…. de la bi\u00e8re, de la sueur et du plaisir !!!!<\/p>\n
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Voil\u00e0 le dernier de mes marathons de 2019 mais le plus m\u00e9morable car mon premier \u00e0 l’\u00e9tranger et le plus compliqu\u00e9 \u00e0 g\u00e9rer physiquement!<\/p>\n
Pour le titre, j’h\u00e9site entre \u00ab\u00a0l’aventure c’est l’aventure\u00a0\u00bb et \u00ab\u00a0l’\u00e9pop\u00e9e de C\u00e9sar en pays espagnol\u00a0\u00bb ou \u00ab\u00a0Rien est \u00e9crit\u00a0\u00bb comme dirait notre sage.<\/p>\n
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A cause ou gr\u00e2ce \u00e0 Val\u00e9rie MASSET qui me parle de l’agence de voyage ‘sportifs \u00e0 Bords’, je d\u00e9cide de me faire offrir par ma femme ador\u00e9e ce marathon de VALENCE aux environs de notre marathon du mont saint michel en mai !<\/p>\n
Biens\u00fbr, l’\u00e9quipe de choc est r\u00e9uni pour ce voyage du vendredi midi au lundi apr\u00e8s midi : les MASSETs et Les LAROCHES auxquelles se rajoutent le couple Olivier et Caro mais aussi un couple de nos amis de BEYNES.<\/p>\n
On part de BEYNES pour ROISSY le vendredi matin 5H45 pour une arriv\u00e9e sur place \u00e0 notre h\u00f4tel sur VALENCE vers 13H00 : on d\u00e9cide tous de manger des tapas en bord de plage et de tremper nos pieds en mer\u2026 On passe d’un froid humide en France \u00e0 une vingtaine de degr\u00e9s : le r\u00eave!<\/p>\n
La fin d’apr\u00e8s midi, on va chercher nos dossards et d\u00e9j\u00e0 une ambiance de folie sur un site tr\u00e8s moderne et tr\u00e8s joli! De retour \u00e0 l’h\u00f4tel, je d\u00e9cide de passer \u00e0 la piscine et au sauna : c’est dur la vie\u2026 Et le soir, notre choix collectif vers un tr\u00e8s bon resto ! qui nous servira de repaire le lendemain soir pour notre repas sp\u00e9cial marathon!<\/p>\n
Le samedi matin, apr\u00e8s un petit d\u00e9jeuner copieux, visite de valence, quelque monuments, la coul\u00e9e verte (fleuve ass\u00e9ch\u00e9 apr\u00e8s des inondations dixit YODA transform\u00e9 en\u00a0 parc tr\u00e8s verdoyant qui traverse toute la ville. DE 9 h du matin \u00e0 17h : on marche, on visite, on pi\u00e9tine…Ma femme d\u00e9cide de poursuivre les visites, je renonce et d\u00e9cide d’aller me reposer car les gambettes tiraillent\u2026 Je me couche et dors 2h avant qu’Isa rentre et direction piscine pour se d\u00e9tendre avant de retrouver la clique pour ce resto au menu sp\u00e9cifique marathon : je reste sage et ne prends que du vin rouge…Je pr\u00e9pare tous mon attirail.<\/p>\n
La nuit est difficile, je me r\u00e9veille souvent, et je cherche encore sur quelle allure partir (j’\u00e9coute ou non Tonio, je pars plus vite ou pas) DING DONG 5H45 : Dimanche c’est jour de marathon, j’arrive \u00e0 6H00 pour ne manger que sal\u00e9 et j’ai une faim d’ogre, ce qui est rare chez moi…<\/p>\n
Quelques photos avec le groupe ASM et le groupe Sportifs \u00e0 bord et incroyable mon SAS 3H00\/3H14 est juste devant l’h\u00f4tel : est ce un signe ?<\/p>\n
Je ne le pense pas car je sais depuis quelques semaines que je suis fatigu\u00e9 mais je n’en parle pas : je vous demande juste de parier sur mon temps pour me motiver un peu et je choisirais celui qui me laisse le plus de temps possible :et comme par hasard c’est titi, mon bin\u00f4me de DEAUVILLE ! MDR Mes jambes sont lourde depuis quelques temps, m\u00eame si j’arrive \u00e0 suivre \u00e0 la seconde pr\u00eat la pr\u00e9paration de TONIO, mon talon d’Achille avec ma bursite sont toujours l\u00e0.<\/p>\n
Par superstition, je prends la m\u00eame tenue qu’\u00e0 MARSEILLE et me fait mon collier de barbe et ma playlist de MARSEILLE et le plus dr\u00f4le, c’est que je ne suis pas superstitieux !!!! est ce un signe de ma non confiance…<\/p>\n
Allez C\u00e9saric, comme me surnomme cricri, fais de ton mieux!<\/p>\n
BIIIIIP TOP D\u00e9part : un monde de ouf sur la route et du bruits et du bruits \u00e0 tel point que je n’entends pas ma musique…est ce un signe ?<\/p>\n
Je pars en \u00e9coutant tonio 4.30 d’allure mais cela me co\u00fbte car cela descends et je dois me freiner et je n’arrive pas \u00e0 rel\u00e2cher mes jambes comme d’habitude : cela semble me fatiguer…Et cela me fatigue \u00e7a descends beaucoup et je me fais doubler et redoubler : je suis dans un sas 3H00 : c’est normal mais cela me semble plus difficile \u00e0 encaisser…Est ce un signe ?<\/p>\n
Je me dis que ce mal de jambes va passer, je prends des gommes de stimium tout de suite mais rien y fait :5Km \u00e0 allure\u00a0 4.27 (contrat rempli)<\/p>\n
10 km : allure 4.28 (contrat rempli) mais je souffre et d\u00e9cide de prendre ma boisson isotonique : j’ai quasi plus rien elle a coul\u00e9 dans ma ceinture sammie tremp\u00e9e et mon haut de short : il fait tellement bon que je n’ai rien senti… Est un signe ?<\/p>\n
Alors, je bois et mange qqs trucs de ma besace mais rien y fait mes cuisses durcissent<\/p>\n
15 km : allure 4.30 (contrat rempli) et je bois mais j’ai chaud…<\/p>\n
Au semi : allure 4.34 r\u00e9alis\u00e9 en 1H34 contrat rempli avec une minute de plus qu’\u00e0 MARSEILLE mais je suis content malgr\u00e9 la fatigue.<\/p>\n
Encore un semi, je sais que faut que je tienne et je pense \u00e0 vous beaucoup… et \u00e0 ma boite \u00e0 emmerdes (des sujets choisis avant course qui me servent pour me stimuler et\/ou qui m’\u00e9nervent…)<\/p>\n
25 km mon allure ralentie et je n’en peux plus 4.45 : j’ai chaud et mon corps me l\u00e2che doucement mais surement ma fr\u00e9quence cardiaque reste dans les normes alors je d\u00e9cide de subir et croyez moi, je subis…<\/p>\n
Je pense \u00e0 titi \u00e0 DEAUVILLE \u00e0 qui je dis si tu es capable de marcher, tu es capable de courir alors je ne marche pas et je ne marcherais paaaaaaaaas…<\/p>\n
Je vous avouerais m\u00eame que les larmes sont pas loin mais je tiens et je pense \u00e0 certains de mes patients et je tiens…<\/p>\n
30 km mon allure baisse mais je tiens : allure 5.00\u00a0 j’ai mal et je commence \u00e0 cramper s\u00e9rieux alors j’essaie de penser \u00e0 autres choses \u00e0 mon bin\u00f4me de choc, son anniversaire et ses vins blancs qui m’ont valu quelques crampes le lendemain sur le marathon de ROUEN : je rigole et cela me fait du bien, je regarde la foule et me dit que mon RP est foutu pour cette fois ci alors profites du spectacle et des afficionados venu pour voir des mecs cramp\u00e9s vout\u00e9s dans ton genre mais moi je d\u00e9cide d’avoir le sourire aux l\u00e8vres, de taper dans les mains du public pour prendre cette \u00e9nergie et ce mur je l’….ule comme dirais …<\/p>\n
35 km C\u00e9sar me co\u00fbte cher, une crampe au bras droit comme un coup de poignard et vous savez quoi je me marre de plus belle en repensant \u00e0 DEAUVILLE et cette foule pour des Av\u00e9 c\u00e9sar m\u00e9morables…allure, allure : j’ai une gueule d’allure…: 5.30 et des crampes partout bras jambes dos…oh cela sent pas bon et la je pense \u00e0 mon Nico (merci pour \u00eatre un de mes li\u00e8vres chevronn\u00e9s) et \u00e0 sa diagonnale : alors que faire ? je d\u00e9cide d’\u00eatre pragmatique, j’en peux plus certes mon allure baisse certes, ma pu…t…n de f\u00e9nix 6 me dit que je suis en retard sur mon RP mais les constantes annexes sont pas si mal : 144 de FC!<\/p>\n
Et bah vous savez quoi, je continue en me disant qu’il me reste la distance BEYNES\/MAULE et qu’au pire je la ferais en rampant mais je finirais…mais je cours de moins en moins vite certes mais je cours alors Forest court : cela me laisse le temps de voir et d’entendre ces espagnols nombreux comme jamais nous encourager c VAAAAAAAAMOS , VENNNNNNNG\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9, vENNNNNNNNNNG\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9\u00e9 de dingues aussi fou que moi ces espagnols et de la musique \u00e0 fond les ballons. Des filles jolies secouristes avec des bombes de froid, en r\u00e9sum\u00e9 des bombes avec des bombes :un r\u00e9gal pour mes yeux d’homme mais aussi pour m’anesth\u00e9sier car je ne suis qu’une crampe! MDR Je ressemble de plus en plus au bossu de notre dame et contrairement \u00e0 elle je ne suis pas cram\u00e9… \u00e0 ce point l\u00e0 alors je continue mon \u00e9pop\u00e9e fantastique de dingue et j’arrive proche de l’arriv\u00e9e ; ce tapis amortissant que je commence \u00e0 fouler, cela fait du bien aux jambes bien s\u00fbr et \u00e0 la t\u00eate je ne vous dis pas : des tribunes remplis et je termine allure : 6.16, les bras lev\u00e9s car j’ai des crampes si je les baisse MDR Je termine cramp\u00e9 mais content en pensant \u00e0 mon bin\u00f4me pour le MDP : m\u00eame cram\u00e9 je tiens!!!<\/p>\n
Ce 11\u00e8me marathon est le plus dure de ma jeune vie de marathonien mais quelle fiert\u00e9…peu importe mon RP, je le termine avec la mani\u00e8re sans marcher!<\/p>\n
J’ai enfin trouver les limites que je cherchais. Maintenant venu le d\u00e9brieffing : trop de courses peut \u00eatre, trop de km peut \u00eatre, trop d’analyse et tout g\u00e9rer avec une super montre peut \u00eatre, des petites blessures \u00e0 soigner surement.<\/p>\n
Je ne peux pas battre mon RP \u00e0 chaque fois que je le d\u00e9cide et c’est bien.<\/p>\n
Mais vous savez quoi, quel pied !<\/p>\n
Maintenant j’ai 6 mois \u00e0 vous accompagner dans vos aventures.<\/p>\n
Je retenterais, un certain 27 septembre 2020 \u00e0 battre mon RP!<\/p>\n
Ce petit s\u00e9jour a \u00e9t\u00e9 tr\u00e8s agr\u00e9able pour moi avec ma petite femme, cricri et JP, YODA et val\u00e9rie, olivier et caro et mes amis de BEYNES. Que du plaisir et de la convivialit\u00e9.<\/p>\n
J’en ressort grandi encore une fois.<\/p>\n
ASMment v\u00f4tre<\/p>\n
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Marathon de Valencia 2019\u00a0: Chronique d\u2019un \u00e9chec annonc\u00e9<\/p>\n
20\u00e8me<\/sup> marathon de l\u2019ann\u00e9e, Valence devait \u00eatre ma tentative de PB sur la distance avec un objectif de 3h28. Sauf\u2026. Sauf que, comme je le r\u00e9p\u00e8te inlassablement, rien n\u2019est \u00e9crit sur marathon et parfois les records tombent alors qu\u2019on ne les attend pas ce jour-l\u00e0 et parfois, ben\u2026 c\u2019est l\u2019\u00e9chec \u00e0 l\u2019arriv\u00e9e.<\/p>\n Revenons avant sur le d\u00e9but de ce s\u00e9jour o\u00f9 nous \u00e9tions une dizaine d\u2019ASM sur le 10 km ou le marathon. Une ambiance de groupe exceptionnelle puisque nous partagerons nos visites et repas tous ensemble. Ce ne sera que joie, bonne humeur et \u00e9clats de rire\u00a0: la marque de fabrique de l\u2019ASM\u00a0!<\/p>\n Apr\u00e8s un petit passage au bord de la M\u00e9diterran\u00e9e pour tester la temp\u00e9rature (fra\u00eeche) de la mer, nous avons commenc\u00e9 par un bon petit repas de tapas sur le front de mer, accompagn\u00e9s de sangria et de bi\u00e8res, afin de respecter la tradition ASM\u00e8ne\u00a0😉<\/p>\n Le soleil est de sortie et c\u2019est sous un beau ciel bleu et une temp\u00e9rature de 24 degr\u00e9s que nous nous dirigeons vers la Cit\u00e9 des Arts et des Sciences, chef-d\u2019\u0153uvre futuriste de Valence o\u00f9 nous allons retirer nos dossards. Accessoirement, c\u2019est dans ces lieux qu\u2019auront lieu le d\u00e9part et l\u2019arriv\u00e9e des courses.<\/p>\n Le repas du soir s\u2019effectuera dans un petit restaurant valencian typique o\u00f9 nous d\u00e9gusterons des sp\u00e9cialit\u00e9s locales d\u00e9licieuses accompagn\u00e9es de Rioja et Ribeiro del Duoro. Nous avons \u00e9t\u00e9 tellement conquis par ce resto que nous r\u00e9serverons aussit\u00f4t pour le repas du lendemain\u00a0: la pasta-party sans p\u00e2tes\u00a0!<\/p>\n Le samedi sera consacr\u00e9 \u00e0 la visite de la ville sous un chaud soleil car nous aurons pr\u00e8s de 26 d\u00e9gr\u00e9s. Un peu de marche au c\u0153ur de l\u2019ancien lit du fleuve ass\u00e9ch\u00e9, le Rio Turio, devenu une superbe coul\u00e9e verte, avec des jets d\u2019eau, des palais, des palmiers, sur pr\u00e8s de 6 km qui nous emm\u00e8ne vers le centre historique. Ajoutons que la course du Breakfast Run se d\u00e9roule ce matin dans cet endroit, d\u2019o\u00f9 la pr\u00e9sence d\u2019un grand nombre de coureurs et de familles.<\/p>\n La vieille ville est magnifique avec ses demeures de style Art Nouveau et ses \u00e9glises et cath\u00e9drales au style si caract\u00e9ristique \u00e0 la richesse ornementale inou\u00efe. Ou encore son Mercado Central avec ses producteurs de jambons ib\u00e9riques, de poulpes, d\u2019hu\u00eetres\u2026. Exceptionnel\u00a0!<\/p>\n Vous l\u2019aurez peut-\u00eatre not\u00e9\u00a0: on marche beaucoup, beaucoup\u2026 peut-\u00eatre trop. On escalade les marches\u00a0; on les redescend. Tant et si bien qu\u2019\u00e0 la fin de l\u2019apr\u00e8s-midi, nous sommes fourbus et pr\u00e9f\u00e9rons rentrer en bus \u00e0 l\u2019exception d\u2019Isabelle , la femme d\u2019Eric, qui pr\u00e9f\u00e8re continuer le tourisme \u00e0 pied (m\u00eame si elle ne court pas le lendemain).<\/p>\n La pasta d\u2019avant-course sera excellente et rapidement exp\u00e9di\u00e9e afin d\u2019avoir un maximum de sommeil.<\/p>\n Malheureusement, je suis parti de Paris avec un bonne cr\u00e8ve qui ne fera que s\u2019amplifier pendant le s\u00e9jour. Comble de malchance, le samedi soir, j\u2019ai un invit\u00e9 inattendu\u00a0: la fi\u00e8vre\u00a0☹. Je prends un Doliprane et je me couche en esp\u00e9rant que cela aille mieux au r\u00e9veil. La remise en question du chrono est \u00e0 mon esprit car je sais que si l\u2019on peut courir avec un rhume, en revanche, \u00eatre fi\u00e9vreux peut s\u2019av\u00e9rer dangereux au niveau cardiaque.<\/p>\n Dimanche matin\u00a0: contrairement aux pr\u00e9visions m\u00e9t\u00e9o qui annon\u00e7aient un temps nuageux, c\u2019est sous un beau soleil que la course aura lieu, m\u00eame si la temp\u00e9rature s\u2019est rafra\u00eechie un peu.<\/p>\n La fi\u00e8vre a disparue (h\u00e9las momentan\u00e9ment) et je me d\u00e9cide \u00e0 respecter mon plan de course initial.<\/p>\n Coup de bol, l\u2019entr\u00e9e dans les sas de d\u00e9part se fait juste devant l\u2019h\u00f4tel. Jamais vu cela auparavant. Nous avons ainsi pu profiter de la chaleur de celui-ci jusqu\u2019au derniers instants avant de nous s\u00e9parer, les uns et les autres, en fonction du temps vis\u00e9. Jean-Phi et Caro sur le 10 km, Eric avec les 3 heures et Olivier et Christine avec les 4 heures<\/p>\n Je me glisse dans le sas des 3h31 \u2013 3h45 aux avant-postes afin de ne pas perdre de temps \u00e0 zigzaguer en compagnie de copains de Courir le Monde. L\u2019allure-cible est connue\u00a0: je dois tenir les 4\u201955\u00a0! Le d\u00e9part est donn\u00e9 \u00e0 8h30 par vagues successives afin de fluidifier le flux des 22.000 marathoniens du jour.<\/p>\n Le d\u00e9but de course est un peu rapide, sous les 4\u201950, mais rapidement je me r\u00e9gule avec discipline. Le parcours est plat de chez plat, avec de longues lignes droites qui nous \u00e9vitent de relancer. Les 10 premiers kilom\u00e8tres sont franchis en 49 mn, conformes au target. Seules les jambes, un peu dures, m\u2019inqui\u00e8tent un peu, preuve que nous avons certainement trop march\u00e9 hier. Passage au 15 \u00e8me km en 1h16. A\u00efe, 2 mn de retard mais rien de grave car les pulsations sont basses.<\/p>\n H\u00e9las, on se rapproche du semi et si celui-ci est pass\u00e9 en 1h51, en revanche, la t\u00eate commence \u00e0 tourner et des bouff\u00e9es de chaleur font leur apparition. Damned, put\u2026 de fi\u00e8vre\u00a0! Elle est revenue\u2026<\/p>\n D\u00e8s lors, je choisis d\u2019opter pour la prudence et r\u00e9duis mon allure TRES consid\u00e9rablement. A partir du 25\u00e8me<\/sup> km, j\u2019ai l\u2019impression d\u2019\u00eatre plong\u00e9 dans une cocotte-minute. A un moment, je me suis m\u00eame demand\u00e9 o\u00f9 je me trouvais, signe de perte de lucidit\u00e9. Heureusement que les encouragements incessants du public aident \u00e0 tenir. Chaque kilom\u00e8tre est parcouru avec une souffrance que je ne me souvenais pas avoir subis jusqu\u2019ici. Je ne regarde gu\u00e8re les monuments que nous longeons dans le vieux-centre tellement je souffre.<\/p>\n Je ne regarde plus ma montre car, m\u00eame l\u2019objectif de rentrer sous les 4 heures me para\u00eet inatteignable. Seul \u00e9l\u00e9ment de consolation au cours de cette Berezina\u00a0: \u00e0 un aucun moment, je ne marcherai.<\/p>\n Apr\u00e8s le km34, je sais que nous sommes sur la route du retour. Psychologiquement, ce moment att\u00e9nue mon calvaire. Si beaucoup de monde me double, il en reste un sacr\u00e9 paquet qui souffrent comme moi. Le marathon est impitoyable.<\/p>\n A l\u2019abord du dernier kilom\u00e8tre, on redescend vers la Cit\u00e9 des Arts au milieu d\u2019un brouhaha incroyable. J\u2019ai envie d\u2019hurler \u00ab\u00a0Stop\u00a0!\u00a0\u00bb tellement ce bruit m\u2019envahit. Je prends quand m\u00eame le temps de savourer les 300 derniers m\u00e8tres qui nous emm\u00e8nent vers l\u2019arriv\u00e9e sur une piste orn\u00e9e d\u2019une moquette bleue, entour\u00e9e par des bassins gigantesques d\u2019eau, donnant l\u2019impression que nous sommes sur une \u00eele. Le tout, domin\u00e9s par des tribunes remplies de spectateurs chaud bouillants.<\/p>\n Le temps de r\u00e9cup\u00e9rer la m\u00e9daille et je rentre \u00e0 l\u2019h\u00f4tel. Douche, Doliprane et dodo car impossible d\u2019envisager d\u2019aller me promener dans cet \u00e9tat.<\/p>\n La soir\u00e9e se passera un peu mieux mais, m\u00eame encore aujourd\u2019hui, en \u00e9crivant ces lignes, la bronchite subsiste m\u00eame si la fi\u00e8vre a enfin daign\u00e9 s\u2019\u00e9loigner.<\/p>\n Avec l\u2019exp\u00e9rience, j\u2019ai appris \u00e0 relativiser les succ\u00e8s et les \u00e9checs. N\u2019oublions pas que nous avons la chance de courir alors m\u00eame que beaucoup ne le peuvent pas, voire m\u00eame marcher. Il y aura d\u2019autres courses, notamment en 2020 que me permettront de battre mon PB de 3h29. Il faut simplement savoir accepter la forme du jour et que le marathon puisse mettre \u00e0 mal notre \u00e9go. Cet \u00e9go qui nous permet de supporter toutes ces charges de travail et d\u2019avancer un pas plus loin, une foul\u00e9e plus loin\u2026<\/p>\n Rien n\u2019est \u00e9crit\u2026<\/p>\n <\/p>\n <\/p>\n Quand Olivier me parle pour la premi\u00e8re fois de Valence en avril, je me dis qu\u2019il n\u2019est pas question de rester sur le bord de la route et de faire Pompon girl\u00a0!! Cette course a l\u2019air d\u2019une grande fiesta, plus de 30 000 coureurs sur le marathon et le 10km \u2026 je veux \u00eatre de la f\u00eate\u00a0!!<\/p>\n La derni\u00e8re fois que j\u2019ai couru un 10km, je les ai fait en 01:04:30. Je me dis assez vite que de tenter de passer sous l\u2019heure est un objectif \u00e0 la fois atteignable et raisonnable.<\/p>\n <\/p>\n Je commence le plan que je me suis concoct\u00e9 15 jours apr\u00e8s Paris-Versailles et tout se passe bien jusqu\u2019\u00e0 la tuile \u2026. Fin octobre, je ne tiens plus debout. Je passe quasiment 3 semaines au fond de mon lit, je fais des examens dans tous les sens. Ma forme fait le yoyo, alors d\u00e8s que j\u2019ai un peu d\u2019\u00e9nergie, je mets mes chaussures et je reprends mon plan l\u00e0 o\u00f9 je l\u2019ai laiss\u00e9. Je finis par me dire que je ne prendrai probablement pas le d\u00e9part mais que ce n\u2019est pas tr\u00e8s grave. Je r\u00e9cup\u00e8re doucement, j\u2019arrive \u00e0 reprendre l\u2019entrainement de l\u2019ASM, il y a des jours avec et des jours sans. Le samedi avant le d\u00e9part \u00e0 Valence, le verdict tombe\u00a0: RIEN DE GRAVE, NADA \u2026 probablement juste mon corps qui m\u2019a dit un gros merde \u00e0 force de trop tirer dessus \u2026 \u00e7a va me servir de le\u00e7on \u2026 mais je vais d\u2019abord faire cette course, je me reposerai apr\u00e8s.<\/p>\n <\/p>\n D\u00e9part pour Valencia avec un petit groupe ASM\u00a0: \u00c9ric et Isa Lonchampt, Christine et Jean-Philippe Laroche, Val\u00e9rie et Laurent Masset, 2 amis des Lonchampt (non coureurs). Le temps est au beau fixe, nous profitons de cette jolie ville, des tapas et de la Sangria. La veille de la course, nous avons probablement un peu trop march\u00e9… les jambes tirent un peu le lendemain.\u00a0 Dimanche matin, r\u00e9veil \u00e0 6h, nous nous retrouvons au petit d\u00e9jeuner \u2026 j\u2019ai beaucoup de mal \u00e0 ouvrir les yeux. 7h30\u00a0: photo de groupe et nous partons vers nos sas. Jean-Philippe, le mari de Christine va prendre le d\u00e9part du 10km avec moi. \u00c7a me rassure de ne pas partir seule m\u00eame si je me doute bien que je ne courrai pas aussi vite que lui. Nous cherchons nos sas \u2026pendant 40 min. L\u2019organisation est focalis\u00e9e sur le marathon et personne ne semble pouvoir nous indiquer o\u00f9 est notre d\u00e9part. Apr\u00e8s avoir fait 4 fois le tour du quartier, au d\u00e9but en marchant, puis en courant \u2026 nous finissons par trouver le d\u00e9part mais il n\u2019y a pas de sas\u00a0!!! Tout le monde en vrac\u00a0!! Nous nous mettons donc l\u00e0 il o\u00f9 il reste de la place, \u00e0 l\u2019arri\u00e8re. Le top d\u00e9part est donn\u00e9, nous avan\u00e7ons en marchant vers la ligne \u2026et l\u00e0 surprise \u2026\u00e7a n\u2019avance pas. Je m\u2019\u00e9tais entrain\u00e9e \u00e0 me mettre tout de suite dans mon allure et l\u00e0, pas moyen, on fait quasiment du sur place. \u00c7a commence \u00e0 s\u00e9rieusement m\u2019agacer. Je dis \u00e0 JP, \u00ab\u00a0\u00e7a ne va pas \u00eatre possible, on se d\u00e9brouille, on avance\u00a0\u00bb. Et commence le slalom entre les coureurs, tout en essayant de rester ensemble. D\u00e8s qu\u2019on rep\u00e8re un trou, petit pas chass\u00e9, petit saut, hop hop hop, on acc\u00e9l\u00e8re et on se remet dans la file. \u00c7a semble amusant au d\u00e9but mais \u00e7a dure quasiment 1km. Ces acc\u00e9l\u00e9rations incessantes sont \u00e9puisantes, ma FC monte en fl\u00e8che, d\u2019autant plus que nous n\u2019avons pu faire aucun \u00e9chauffement. Tr\u00e8s vite, je dis \u00e0 Jean-Philippe de ne pas m\u2019attendre. Je suis d\u00e9j\u00e0 en surchauffe, \u00e9nerv\u00e9e, stress\u00e9e et je doute d\u00e9j\u00e0. Je boucle le 1er<\/sup> km en 6\u201919 \u2026 zut d\u00e9j\u00e0 19 secondes de retard. J\u2019essaye d\u2019acc\u00e9l\u00e9rer et boucle le 2\u00e8me<\/sup> 5\u201955. Puis je commence \u00e0 ressentir les effets du manque total d\u2019\u00e9chauffement. Je boucle les km 3-4-5 autour de 6\u201903. Je sais que ce n\u2019est pas assez rapide mais je n\u2019arrive pas \u00e0 acc\u00e9l\u00e9rer. Ma FC est dans le rouge total, je suis \u00e0 92% mais \u00e7a semble stagner, je me dis donc que \u00e7a va aller. Et surprise, les 3 km suivants, j\u2019arrive \u00e0 acc\u00e9l\u00e9rer, pas beaucoup mais un peu. Je fais donc les 6-7-8 autour de 5\u201955. Et puis 9\u00e8me<\/sup>, j\u2019essaye d\u2019acc\u00e9l\u00e9rer mais je n\u2019y arrive pas… ma FC tangente les 95%, je sais qu\u2019il ne va pas me manquer pas grand-chose pour passer en dessous de l\u2019heure. Le 10\u00e8me<\/sup> km est le plus rapide \u00e0 5\u201948 gr\u00e2ce \u00e0 une petite descente pour rejoindre le plan d\u2019eau, \u00e0 700m de la fin. Je vois au loin la ligne d\u2019arriv\u00e9e et je mouline mes petites jambes aussi vite que possible pour rattraper les quelques secondes qui vont me manquer\u2026.<\/p>\n Passage de la ligne d\u2019arriv\u00e9e \u2026 comme d\u2019habitude, je manque de tomber dans les pommes. En \u00bd seconde, je me retrouve avec un secouriste sous chaque bras. Ils essayent de m\u2019embarquer dans leur camion mais je n\u2019ai aucune envie de les suivre\u2026 j\u2019essaye d\u2019\u00eatre polie mais ils m\u2019emp\u00eachent juste de respirer \u00e0 me soulever comme \u00e7a\u2026. Je finis par leur faire comprendre que \u00e7a va aller et qu\u2019ils peuvent me l\u00e2cher \u2026 et je peux enfin r\u00e9cup\u00e9rer tranquillement \u2026<\/p>\n R\u00e9sultat final\u00a0: une moyenne de 6\u201901, c\u2019est tout ce que je regarde \u2026 car j\u2019ai r\u00e9ussi \u00e0 me rajouter 320m avec mon d\u00e9part chaotique. Et sur 10km, 320m \u00e7a fait quand m\u00eame 2 minutes.<\/p>\n Le sub 1h sera sans aucun doute pour la prochaine fois \u2026 enfin si j\u2019en refait un car c\u2019est quand m\u00eame une course assez rapide qui pique un peu \u2026\u00a0J<\/p>\n <\/p>\n Quel beau marathon\u00a0!\u00a0C\u2019\u00e9tait un super week end en mode colo de vacances\u00a0J<\/p>\n Beau temps, superbe ville, bonne ambiance\u00a0!\u00a0Je suis contente d\u2019y avoir particip\u00e9.<\/p>\n <\/p>\n Le marathon est roulant, passe par la ville qui est superbe.<\/p>\n Les ravitos sont sympas m\u00eame si \u00e7a ressemble \u00e0 une d\u00e9charge \u00e0 chaque 5 kilom\u00e8tres.<\/p>\n <\/p>\n Que vous dire\u00a0\u2026<\/p>\n J\u2019ai bcp march\u00e9 et pi\u00e9tin\u00e9 la veille, mais je ne regrette rien.<\/p>\n Nous devions le faire en moins de 4h avec Olivier et tous les voyants \u00e9taient au vert, sauf que \u00e7a a vir\u00e9 au rouge, pas trop pr\u00e9vu le jour J pour moi.<\/p>\n Au sens propre comme au figur\u00e9, c\u2019est naze d\u2019\u00eatre une nana dans ces moments-l\u00e0 o\u00f9 la nature te rappelle bien que ton corps a une biologie diff\u00e9rente.<\/p>\n Bref. Douleurs, vertiges\u2026. Pffff, grosse fatigue.<\/p>\n Bon, c\u2019est aussi fin d\u2019ann\u00e9e bien charg\u00e9e \u00e0 tous les plans alors fuck le chrono, j\u2019ai march\u00e9\u00a0 quand j\u2019en avais besoin, me suis assise, j\u2019ai bu, j\u2019ai pris mon temps.<\/p>\n Deauville m\u2019avait d\u00e9j\u00e0 bien entam\u00e9e y\u2019a deux semaines\u2026<\/p>\n <\/p>\n Allez, c\u2019est le moment, on se dirige chacun dans nos sas respectifs en bas de l\u2019h\u00f4tel (mais vraiment en bas)<\/p>\n Avec Olivier nous nous disons que c\u2019est bizarre car les flammes 4h sont ensembles d\u00e9j\u00e0 et tout au fonds du SAS\u00a0?? Bof, on en a pas besoin.<\/p>\n <\/p>\n Je me passe au radar\u00a0: mal au ventre, aux jambes, au dos, crev\u00e9e, 2 parpaings\u2026. Frustrant mais tant pis. Je vais en ch\u2026<\/p>\n D\u00e8s le 8 ieme d\u00e9j\u00e0 je sens que \u00e7a ne d\u00e9colle pas, que \u00e7a d\u00e9conne.<\/p>\n On a un bon rythme avec Olivier, on n\u2019est pas partis trop fort et puis m\u00eame avec les ralentissements on fini par bien rattraper une allure de 5\u201930.<\/p>\n Olivier est super \u00e0 l\u2019aise.<\/p>\n 13ieme je me sens pas bien, la t\u00eate tourne, je dis \u00e0 Olivier de ne pas plomber sa course, de partir devant, que je le rattrape tout \u00e0 l\u2019heure.<\/p>\n 16 ieme (je crois) je le rattrape, on refait qques minutes de course et je lui dis que de nouveau la t\u00eate me tourne, et donc de partir devant.<\/p>\n <\/p>\n Peu \u00e0 peu la foul\u00e9e d\u2019Olivier qui est a\u00e9rienne et r\u00e9guli\u00e8re me distance. Je souris, car il est bien, il va profiter de sa course\u00a0\ud83d\ude09\u00a0J.<\/p>\n Moi je souffle je suis lourde, j\u2019ai mal, je suis dans le dur.<\/p>\n Le semi\u2026 pfff<\/p>\n 26 ieme je vois Caro et mon mari qui m\u2019encouragent\u00a0J\u00a0J<\/p>\n Je me dis, tiens, je m\u2019arr\u00eate l\u00e0, j\u2019ai trop mal, tant pis.<\/p>\n Puis non, je continue, ravito un peu plus loin, je m\u2019arr\u00eate et je m\u2019assois, je prends un anti inflammatoire, j\u2019ai mal au ventre, au dos et dans les cuisses pur\u00e9e.<\/p>\n Allez, je repars en marchant vite et puis en courant\u2026 (7\u201957 sur ce kilo, c\u2019est y pas beau \u00e7a\u00a0?)<\/p>\n Le kilo d\u2019apr\u00e8s \u00e0 6\u201947, celui d\u2019apr\u00e8s 6\u201931 pfff\u00a0; bon allez\u2026.<\/p>\n Au 30 ieme je ferai le point mais pur\u00e9e, il en restera encore 12 l\u00e0 s\u00e9rieux\u00a0?<\/p>\n <\/p>\n Entre le 30 ieme et le 34 ieme j\u2019alterne course et marche, la flamme 4 h me d\u00e9passe pu\u2026de m\u2026<\/p>\n 35 ieme on est dans la ville presque\u00a0! Les espagnols encouragent c\u2019est cool\u00a0!! La ville est superbe, j\u2019ai mal mais je l\u00e8ve le nez, je prends du plaisir, je souris malgr\u00e9 tout car je n\u2019oublie pas le soleil et les beaux b\u00e2timents, les parcs vus la veille avec les amis, je me rappelle ces bons moments, \u00e7a compte\u00a0!<\/p>\n <\/p>\n Autant que de vous voir les amis sur les courses (toutes courses confondues\u00a0!), voir vos frimousses et de vous entendre\u00a0!<\/p>\n <\/p>\n 37 ieme bon, anti inflammatoire ou pas\u2026. Que dalle, je ressens aucun effet, m\u2019en fou, je repars en courant comme je peux.<\/p>\n 38 ieme je marche un peu\u2026 Je pense \u00e0 mon Nico, allez Cricri 30 min\u2026<\/p>\n Allez Chris, tu ne rentres pas sans cette m\u00e9daille\u00a0! Pu\u2026 la gniac me reprend au 39ieme, je crie au 41 ieme, j\u2019acc\u00e9l\u00e8re (mdr \u00e0 12 km\/h ouhouh je vais m\u2019enrhumer\u00a0L) j\u2019en ai marre de subir l\u00e0, cette arriv\u00e9e sur le tapiiiiiiiiiiiiiiss bleuuuuuuuuu OUAHOU, mais \u00e7a restera m\u00e9morable au milieu du bassin.<\/p>\n Je souriiiiiiiis tout est bleu et j\u2019ai finiiiiiiiii\u00a0!<\/p>\n <\/p>\n Superbe\u00a0! Et pourtant j\u2019\u00e9tais dans le \u00ab\u00a0rouge\u00a0\u00bb.<\/p>\n <\/p>\n Dernier de l\u2019ann\u00e9e, repos l\u00e0, je suis un peu nazoum.<\/p>\n Je saurai apr\u00e8s que \u00e7a \u00e9t\u00e9 dur pour Yoda qui avait la cr\u00e8ve (quelle endurance quand m\u00eame respect\u00a0!), dur pour Olivier qui ne m\u2019a pas appel\u00e9e au 37 ieme en me voyant passer alors qu\u2019il \u00e9tait aussi dans le dur \u00e0 cause de douleurs, dur pour Eric aussi.<\/p>\n <\/p>\n Repos\u2026 et \u00e7a tombe bien, voil\u00e0 les f\u00eates qui arrivent\u00a0!<\/p>\n <\/p>\n Cricri Souris<\/p>\n <\/p>\n Caroline Gillier : 01:02:05 (10 Km) <\/p>\nR\u00e9cit de Caroline<\/strong><\/h4>\n
R\u00e9cit de Christine<\/strong><\/h4>\n
R\u00e9sultats Marathon :<\/strong><\/h4>\n
\nChristine Laroche : 04:05:50 (marathon)
\nEric Lonchampt : 03:31:19 (marathon)
\nJean-Philippe : 00:58:17 (10Km)
\nLaurent Masset : 04:06:56\u00a0(marathon)
\nOlivier\u00a0Paulin : 04:09:35 (marathon)<\/p>\nQuelques\u00a0vid\u00e9os :<\/strong><\/h4>\n